Pour son 50ème anniversaire, Monsieur S. avait un grand rêve : construire une maison quatre façades comme il l’avait toujours rêvée. Pari tenu avec cette spacieuse villa aux murs beige/chocolat qui incitent à la décontraction.
« Ce que j’aime dans la maison, c’est que lorsqu’on rentre le soir, on se sent directement accueilli. Accueilli par la chaleur, les couleurs et le calme que se dégagent de l’habitation. Nous avons vraiment l’impression d’être en vacances toute l’année », se réjouit le maître des lieux. Il est vrai que les propriétaires vivaient précédemment dans une maison bel étage située dans une rue bruyante de la périphérie bruxelloise. « Lorsque nous l’avons construite – nous n’en sommes pas à notre première expérience de construction – elle était très paisible. Mais au fil du temps, la circulation s’est accrue, avec toutes les conséquences de pollutions sonores que l’on peut imaginer. Outre le fait que je souhaitais vivre dans la maison de mes rêves à 50 ans, le bruit nous a également incité à vivre ailleurs », précise Monsieur.
UN TERRAIN = 2 ANS DE RECHERCHES
Les propriétaires souhaitaient vivre dans le Brabant wallon afin de se mettre au vert. « Nous avons longtemps cherché une parcelle. Nous avons déniché celle-ci une année avant de l’acheter. Elle était aux mains d’un promoteur qui ne nous inspirait pas. Un an plus tard, nous sommes revenus dans le quartier par hasard, et nous avons découvert avec soulagement que ce promoteur s’était retiré. Nous avons alors acheté le terrain exposé plein Sud que nous avions repéré. Il est atypique en ce sens qu’il est de forme triangulaire et en pente. »
La parcelle a été « coupée » en deux afin d’obtenir des plateaux de niveaux différents. « Cela aurait été trop compliqué de conserver un terrain aussi pentu », note Monsieur. La transition entre les deux « étages » a été assurée par une végétation luxuriante. L’ensemble rythme le jardin de façon originale.
LE CLÉ-SUR-PORTE, 40% MOINS CHER
Il y a une vingtaine d’années, les propriétaires avaient construit une première fois avec un coordinateur, qui gérait les différents corps de métier. « Nous avions été satisfaits de ses services, et nous l’avons recontacté. Nous avons été surpris de découvrir que ses tarifs étaient beaucoup plus élevés qu’autrefois… C’est comme cela que nous avons contacté Thomas & Piron, qui était 40% moins cher pour le même type de projet. Il y a 20 ans, le rapport était inversé… Nous avons rapidement signé avec TP car nous avons été tout de suite mis en confiance lors de la première rencontre avec le représentant commercial. De plus, le budget et le type de maison proposés nous convenait parfaitement. »
A CHACUN SON UNIVERS
L’un des souhaits des maitres d’ouvrage était d’une part de vivre dans une maison aérée, et d’autre part, que chacun bénéficie de son propre espace. « Nous avons conçu de grandes chambres pour nos deux filles, chacune faisant 25 m2. Nous avons également un grand bureau avec deux espaces de travail. Le grenier de 55 m2 est quant à lui en cours d’aménagement. Nous y installerons prochainement un petit salon et une salle de loisirs. Enfin, nous avons pour projet, à plus long terme, d’aménager une partie des caves avec un Spa (jacuzzi et cabine infrarouge), et une zone de détente. Mais ça, ce n’est pas pour tout de suite… »
UNE MAISON QUI SUIT LA COURBE DU TERRAIN
L’architecture de l’habitation suit la courbe naturelle du sol. « La suite parentale se situe en contrebas du reste de la maison, note le maître des lieux. Nous descendons deux marches pour arriver à la salle d’eau, et encore trois marches pour atteindre la chambre. Une terrasse est directement accessible depuis notre lieu de repos. Il s’agissait pour nous d’un impératif : nous avions très envie de profiter du jardin depuis la chambre. » Afin d’assurer l’intimité, les autres chambres ont été installées à l’étage, ainsi que la seconde salle de bains.
UN BON FEELING AVEC LES ÉQUIPES
« Concernant les corps de métier, l’architecte ou le conducteur de chantier, nous n’avons rien à y redire, car tout s’est déroulé de façon impeccable. Je me rendais quasiment chaque jour sur le chantier, et tout était OK. En effet, nous discutions et réglions les problèmes, même en dehors des réunions de chantier… » Seul bémol : le temps d’attente entre la signature du contrat et le démarrage des travaux. « Il y a eu beaucoup de lourdeurs administratives. »
UNE AMBIANCE COSY
La maison se distingue par un fil rouge : des coloris chauds et réconfortants (chocolat, beige,…), mais également la présence de nombreux bouddhas, d’attrapes-rêves dans les chambres, de galets au sol dans les douches, de placards lambrissés dans la cuisine… Tout cela offre une impression de douceur et de bien-être. « Pour que notre intérieur soit chaleureux dès le départ, nous avons opté pour un primer beige sur les murs… Cela évite l’effet « hôpital » avant de peindre les cloisons dans la tonalité souhaitée. »
LA CUISINE, UN CENTRE NÉVRALGIQUE
Ouverte sur le séjour, la cuisine se distingue par un grand îlot central (près de trois mètres de long) abritant une table pour six personnes. « Nous avons fait déplacer l’un des pieds de l’îlot qui gênait, note Monsieur. De cette façon, nous bénéficions d’une grande table confortable sur laquelle nous prenons tous nos repas. » Les façades de placards sont quant à elles en imitation lambris de bois dans un style très chaleureux.
« LA RÈGLE DES 10% »
« La première fois que j’ai construit, un ami m’avait mis en garde concernant le budget. Il m’avait conseillé de prévoir 10% en plus pour les imprévus. Je ne l’ai pas suivi à l’époque. J’ai eu de la chance car je m’en suis tiré avec seulement 5% de surplus, explique le propriétaire. Mais cette fois-ci, j’ai décidé de l’écouter, et je suis tout juste rentré dans mes frais. Ces surcoûts ne sont pas liés à Thomas & Piron, mais à des éléments que l’on ne peut pas prévoir, comme par exemple la nécessité d’un radier ou de caves dans notre cas. Ou encore le poste électricité. Lorsqu’on sort du standard, le coût est plus important, mais le confort l’est aussi. Et je ne parle même pas de l’éventuel raccord à l’égout, des aménagements extérieurs… »
LES LIGNES DE FORCE
- Le calme. « Quand nous rentrons à la maison, qui est située dans un clos fermé, nous avons l’impression qu’elle nous accueille, ce qui est très agréable. Il n’y a pas un bruit, tout est serein… Et lorsque nous sommes sur la terrasse, c’est carrément les vacances. »
- L’espace. « Chacun vaque à ses occupations dans son propre univers, ce qui accroît le sentiment d’indépendance et de liberté. »
- La proximité des commodités. « Il s’agissait de l’une de nos prérogatives. De plus, le quartier est sympa, avec un nombre de maisons limité, recréant une espèce de « village dans le village ». »
EN CONCLUSIONS…
Une maison de dimensions généreuses à l’architecture classique et à la déco « cocoon » dans des tonalités chaudes et rassurantes. Une juste distribution des espaces permettant d’accueillir la famille élargie. Un accès vers l’extérieur (notamment depuis la chambre parentale) offrant une sensation de vacances perpétuelles.